Ce noeud relativement sûr lorsqu'il s'agit d'attacher n'importe quel type de cordage à un point d'amarrage fixe, ne présente presque aucun risque d'erreur, tant il est facile à exécuter. Un des intérêts de ce noeud est qu'il peut être réalisé sous forte tension ; si le premier tour peut être parfois un petit peu difficile à réaliser, le reste se fait facilement une fois la tension cassée par le premier tour.
Faire les clés toujours dans le même sens
Le nœud de cabestan est le nœud de prédilection pour les pare-battages. Attacher les pare-battages aux filières. S’amarrer à une bit
On peut sécuriser le nœud de cabestan avec une ou deux demi-clés
A l’extrémité de toutes les écoutes (sauf de celles de spi) pour ne pas qu’elles passent au travers des taquets ou des poulies
Pour monter en haut du mât, le double nœud de huit est plus sécurisant que le nœud de chaise : faire un nœud de huit à 50cm de l’extrémité de la drisse, passer dans les boucles du baudrier ou la chaise de mât puis doubler le huit existant
Attacher la drisse à la voile s’il n’y a pas de mousqueton. Attacher les écoutes à la voile. Attacher tout ce qu’on ne veut pas détacher sous tension. S’amarrer à un taquet qui est sature
Le nœud de chaise ne peut pas se défaire sous tension,
il n’est donc pas adapté pour un amarrage principal.
La méthode à “une main” est plus simple à apprendre et plus sécurisante
à l’usage.
L’extrémité doit dépasser de 5 à 10 fois le diamètre pour être sûr que
le nœud ne se défasse pas
S’amarrer avec un nœud de taquet à bord, et un tour mort deux demi-clés
à terre.
Attacher la balancine de bôme au mât lorsqu’il n’y a pas de retour piano
Faire un tour complet (tour mort) avant de commencer à croiser.
Un taquet au port, ça se partage : tour mort deux demi-clés